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Barnaï GuanMa — Fille des Steppes et du Ciel
Barnaï GuanMa
Clan : TianLang
Métier : Sellière-bourrelière
Fiche & Liens : Clic
Yiheliste
Barnaï GuanMa
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Barnaï GuanMa

  • Autre
    ► La plupart des enfants et jeunes adultes du voisinage l’appellent « Ma Tante », ou « Tante Barnaï » même s’ils ne lui sont aucunement apparentés.

    ► Son mari la surnomme affectueusement Doigts de Fée en référence à ses dons de création de harnachements sublimes (et plus si affinités).

    ► Son nom de courtoisie est Jingyi Zhong (esprit résolu/ferme et loyauté/dévotion)
  • Caste
    ► Yiheliste
  • Age
    ► 50 ans (17 juillet 758 – mois du bélier)
  • Métier
    ► Sellière-bourrelière et maître Yiheliste
  • Clan
    ► TianLang
  • Province
    ► Akkan
  • Don
    ► Non
Avatar : Suyin Beifong – Avatar : The Legend of Korra
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Questionnaire général


Quel est son plus lointain souvenir ?
► Le battement des tambours qui fait vibrer son corps et son cœur, le roulement des sabots des chevaux qui font trembler la terre, les couleurs vives des parures de fêtes de ses aînés et de leurs montures, le crépitement de l’excitation dans l’air et l’odeur de viande grillée et de pâtisseries fraîches du repas de fête. Elle se souvient aussi de son impatience : elle avait hâte d’être assez grande pour elle aussi montrer à tous ses prouesses de cavalière !

Quel est son statut familial ?
► Barnaï est mariée et très heureuse en mariage. Elle a épousé son amour d’enfance juste après leur Test de Confirmation et ils sont aujourd’hui encore un couple soudé et aimant. Ils ont eu trois enfants : deux garçons et une fille. L’aîné est un Yiheliste confirmé, marié, et lui aussi père de trois enfants (une fille et des jumeaux). La deuxième a embrassé une vie de Yiheliste itinérante peu après son Test de Confirmation, mais revient de temps en temps passer du temps avec sa famille. Le dernier vient de réussir son Test de Confirmation, mais n’a pas encore de projets précis pour le reste de sa vie. Pour le moment, il aide ses parents et le reste de leur communauté de diverses manières.

Quel est l'objet et/ou l'animal et/ou la personne auquel elle tient le plus ?
► Comme tout nomade des Steppes qui se respecte, Barnaï est très attachée à son cheval. D’autant plus qu’il n’est pas toujours facile de trouver parmi les chevaux résistants, mais pas très grands d’Akkan une monture à sa taille (et hors de question de se contenter d’un de ces chevaux délicats et fragiles du Sud). Batu est un robuste étalon bai brûlé aux crins fournis, plus grand que la moyenne de ses congénères, mais tout de même petit et trapu comparé aux chevaux qu’on trouve dans les provinces du Sud. Il est vif, volontaire, courageux et en parfaite symbiose avec sa cavalière.

Elle tient également beaucoup à son arme yihelle, un long fouet souple du nom de Yin Jia (protéger & foyer/famille).

Mais le plus important et le plus précieux à ses yeux, c’est sa famille (terme à interpréter au sens large pour ne pas seulement inclure ceux qui lui sont apparentés par le mariage ou par le sang) :

Bilgüün GuanMa, son mari, est l’archétype de la force tranquille. De prime abord, il est impressionnant, avec sa haute taille, sa carrure d’ours et sa voix grave. Mais quiconque le connaît un tant soit peu sait qu’il a une patience à toute épreuve et qu’il est capable d’apaiser même les chevaux les plus angoissés. Et tant mieux, parce que ça lui est très utile dans son métier de soigneur pour chevaux et maréchal.

Naranbaatar GuanMa a hérité de la taille de son père, mais pas de sa carrure : il est plus élancé et sec, comme sa mère. Il rayonne la joie de vivre et a par conséquence tendance à attirer les regards. Les enfants raffolent de ses talents de conteur.

Maral GuanMa est la naine de la famille (comprendre : elle fait une taille normale pour une fille des Steppes). Elle le vit très bien, puisque ça lui facilite la recherche d’une monture. Sa famille la surnomme « Tourbillon », un surnom qu’elle porte à merveille vu comme elle ne tient pas en place. Il n’est donc pas étonnant que la vie de Yiheliste itinérante l’ait attirée.

Dölgöön GuanMa a encore l’air un peu dégingandé de quelqu’un qui vient de finir sa croissance et se demande ce qu’il doit faire de cette longueur supplémentaire. Il n’est toutefois pas maladroit, au contraire ! Plus calme et moins flamboyant que son frère et sa sœur, il risquerait de se faire effacer par eux s’il ne possédait pas lui aussi un caractère bien affirmé.

(Et je ne vais pas détailler ici les petits-enfants, la belle-famille, les cousins, les amis, les voisins… sinon on y est encore demain !)

Précisez sa principale qualité et son principal défaut selon elle. Cela correspond-il à la réalité ? Si non, précisez également quels sont-ils objectivement.  
► Tant Barnaï que ceux qui la connaissent bien citeront sans doute sa volonté et sa détermination comme qualité principale. Elle sait ce qu’elle veut et elle n’abandonne pas facilement. Elle a donc tendance à atteindre les objectifs qu’elle se fixe, quel que soit le domaine. Cette détermination alliée à sa loyauté et son amour pour ses proches en fait une farouche protectrice contre quiconque, homme ou bête, tenterait de leur nuire.

Cette force de caractère peut toutefois devenir un défaut, surtout face à ceux (et celles) qui voient d’un mauvais œil qu’une femme ait son assurance. Elle ne possède pas la patience de son mari, au point d’être même soupe au lait dans sa jeunesse. Heureusement, elle en a conscience et l’âge et l’expérience l’ont un peu tempérée… Mais mieux vaut tout de même éviter de la pousser à bout, parce que le bout pourrait arriver plus vite que prévu.

Ceux qui ont fait face à sa fureur, qu’elle ait ou non été dirigée contre eux, seraient sans doute surpris de la voir avec ses proches. Nulle trace d’impatience ou d’énervement en vue : ils ont laissé la place à une douceur maternelle et au bonheur visible que sa vie lui apporte chaque jour. Ce dévouement envers sa famille a également ralenti quelque peu sa progression sur la voie du Yihel : pendant de nombreuses années, elle a préféré se concentrer sur l’éducation de ses enfants et elle s’est contentée d’entretenir son Yih plutôt que de continuer à le développer. Ce n’est qu’une fois ses enfants plus âgés et moins dépendants de leurs parents qu’elle s’est de nouveau consacrée pleinement au développement de son Yih, au point d’obtenir le titre de maître et la permission d’enseigner il y a quelques années.

Précisez sa taille, son type de silhouette, la couleur et la longueur de ses cheveux, de ses yeux, et ses éventuels signes particuliers.
► « Ce n’est pas une femme ! », a-t-on envie de s’écrier dans les provinces de Suhei, Lianshi ou encore Hitsai à son arrivée. Elle est trop grande, son port de tête trop fier, son corps trop sec, ses yeux trop durs et ses membres trop forts pour appartenir à la délicate gent féminine. Elle se meut avec assurance plutôt que de courber l’échine et s’effacer face à ses supérieurs supposés. « Clairement, une barbare », conclut-on alors dans les provinces du sud.

« Vous êtes tous des idiots », répliquerait son mari. Sa haute taille avoisinant le mètre 80 lui permet de l’embrasser sans s’endolorir la nuque. Sa présumée fierté, qui n’est autre qu’une confiance en elle justifiée, la fait rayonner avec autant de puissance que le soleil dans le Ciel. Son corps sec et résistant a donné naissance à trois enfants en bonne santé sans être affaibli par les grossesses successives ou les naissances. Ses yeux gris-vert ne sont pourtant pas froids, et s’ils sont durs, c’est que son interlocuteur a fait ou dit quelque chose qui mérite de le fusiller du regard. Ses membres forts, enfin, ont créé plus de selles, brides, harnais et autres harnachements que leur clan n’a de chevaux ou peu s’en faut et ont protégé tant sa famille que de parfaits étrangers contre une multitude de dangers. Elle est une digne fille des Steppes, n’en déplaise aux jaloux qui craignent de voir ses exploits dépasser les leurs.

Jusqu’il y a peu, ses cheveux grisonnants lui tombaient jusqu’au creux des reins. Mais après un malheureux incident impliquant une sieste, une petite-fille ayant échappé à la vigilance de ses aînés et un poignard, ils ont été sacrément raccourcis. Après avoir passé le savon de sa vie à la fillette (heureusement, la chevelure de Barnaï avait été la seule victime de l’incident), elle a toutefois pris sa nouvelle coiffure avec philosophie, déclarant que « les cheveux, ça repousse ».

Quelle est l'Aberration qu’elle redoute le plus ?
► Jusqu'il y a peu, il s’agissait sans doute du Bhasma Garne. D’une part il est difficile d’affronter quelque chose qu’on connaît très mal, que ce soit par manque d’expérience personnelle (elle n’en a encore jamais vu) ou parce que même les connaissances générales sur cette créature sont très maigres. D’autre part, l’environnement dans lequel vit cette Aberration la désavantagerait encore plus : autant elle se bat sans mal à pied ou à cheval, autant il lui arrive rarement de devoir s’aventurer sur de grandes étendues d’eau et elle n’a par conséquent absolument pas le pied marin et des compétences de nage assez rudimentaires.

Mais depuis l'attaque du campement TianLang par des Aberrations d'un nouveau genre, c'est aux Khurgis que revient cette place. Le fait qu'ils volent et coopèrent les rend bien plus redoutables et difficiles à combattre que la majorité des Aberrations, et les yourtes sont une bien maigre protection contre ces monstres. Sans parler de leur méthode de reproduction immonde. Leurs victimes ont une mort plus lente, douloureuse et affreuse que celles de n'importe quelle autre Aberration. Non, vraiment, ils sont une dangereuse menace et des immondices sans nom.

Son souhait le plus récent
► Elle souhaite à Dölgöön, son dernier-né, de trouver une voie qui lui convienne et lui permette de s’épanouir et a demandé au Ciel de le guider peu après que Dölgöön ait réussi son Test de Confirmation. De manière plus générale, elle souhaite le bonheur et la sécurité de ses proches.

Questionnaire de Caste



Il s'agit d'une Yiheliste

Est-elle née au sein du clan auquel elle appartient ? Si non, où est-elle née, à quel âge et pourquoi a-t-elle rejoint son clan ? (Si c'est une Égarée, de quel clan provient-elle et pourquoi l'a-t-elle quitté?)
► Oui : elle est née dans les Steppes d’Akkan, au sein du clan TianLang.

Quel est son rôle et/ou sa fonction dans son clan ? (Si c'est une Égarée, quelle était sa fonction au sein de son ancien clan ?)
► Barnaï et sa famille sont très éloignées des sphères du pouvoir TianLang et en rien apparentées à la famille régnante. Sa mère était tisserande, son père sellier-bourrelier et tous deux lui ont transmis leur art en plus de sa formation de Yiheliste. Elle est donc une femme aux multiples compétences, mais c’est finalement la profession de son père qui l’a attirée le plus. Plus récemment, elle a également commencé à prendre des élèves Yihelistes en herbe.

Quelle est sa spécialité ? (extermination / purification)
► Elle est spécialisée en extermination et forme un duo redoutable avec son mari (qui a quant à lui choisi la voie de la purification).

Quelle est son arme yihelle ? Quel nom porte-t-elle ?
► Elle possède un arc et un sabre, comme bon nombre de membres de son clan, mais son arme yihelle est un fouet qu’elle a confectionné elle-même portant le nom de Yin Jia (protéger & foyer/famille).

Quel est son ressenti vis-à-vis des demi-démons ?
► Elle n’a a priori rien contre eux (contrairement aux Aberrations, il y a généralement moyen de discuter avec un demi-démon), mais elle est bien consciente que le vécu de la plupart les rend aussi désespérés (et donc dangereux et imprévisibles) qu’un animal acculé. Elle reste donc sur ses gardes sans être hostile.  

Texte RP


« C’est juste une impression, ou ils rapetissent d’année en année ? »

Barnaï jetait un œil critique sur les chevaux qui paissaient dans la plaine, à quelques pas du campement. À son grand dam, son fidèle Ganbold commençait à se faire vieux et il était temps de commencer à lui chercher un successeur si elle ne voulait pas un jour se retrouver brusquement sans cheval. Oh, pour le moment l’étalon gris pommelé était encore en parfaite santé malgré son âge avancé. Mais sa cavalière sentait bien que ses pointes de vitesses se faisaient moins rapides, qu’il se fatiguait plus vite et récupérait plus lentement. Il ferait un excellent cheval professeur pour les jeunes générations, mais il devenait peu à peu un danger pour lui-même et pour sa cavalière lors des Traques.

« C’est toi qui ne leur laisses aucune chance parce que tu n’aimes pas la nouveauté. »

Bilgüün passa un bras derrière le dos de sa femme pour venir poser sa main sur sa hanche. Malgré sa taquinerie, elle savait qu’il compatissait. Comme tous les enfants des Steppes, il connaissait la force du lien qui unissait un cavalier à son cheval et combien il était douloureux de devoir laisser la place de son fidèle compagnon à un nouveau. Dans ces contrées, ce lien était aussi célèbre que le fameux lien de Yih – et bien plus répandu.

« Allez, viens. Evidemment qu’ils ont l’air petits si tu restes à cette distance. »

Il l’entraîna avec lui tout en parlant et elle suivit le mouvement. Il avait raison, elle le savait. Tout comme lui savait qu’elle le savait et savait que sa résistance n’était qu’une façade. Mais qu’elle était trop contente de l’utiliser lui comme prétexte pour aller s’intéresser à d’autres chevaux que Ganbold. Tout comme lui serait ravi de l’utiliser elle comme prétexte lorsqu’il devrait se trouver une nouvelle monture. Depuis des décennies, ils se servaient mutuellement de voix de la raison et de pilier dans les moments difficiles.

Une fois dans le troupeau, elle dut admettre qu’il y avait plusieurs candidats avec un excellent potentiel. Elle n’en attendait évidemment pas moins de l’éleveur du campement, qui avait fait naître les montures de toute sa famille. Et pourtant, même entourée de bêtes vives, robustes et magnifiques, elle trouvait à redire à chacun des candidats. L’un était trop petit, l’autre trop âgé, un autre encore lui paraissait trop sur l’œil… Bilgüün se contentait de hocher la tête en silence et de la laisser se faire à l’idée de changer de cheval à son rythme.

Elle venait de rejeter un alezan – trop placide – quand elle aperçut une encolure sombre qui dépassait du troupeau. Elle se fraya un chemin, son mari à sa suite, jusqu’à un bai brûlé de plus d’une main de plus que ses congénères au garrot. Il était bien proportionné, avec un large poitrail, une encolure musclée et des membres robustes. Ses crins fournis ne dissimulaient tout juste pas deux yeux pétillants de vie.

« Eh bien eh bien, salut toi. »

Elle passa une main sur les naseaux de l’animal, puis sur son chanfrein. Il baissa la tête pour lui permettre de le gratter plus facilement à la naissance du toupet. Derrière elle, son mari sourit, puis se mit à tourner autour du cheval et à l’inspecter plus en détail.

« Entier d’environ quatre ans, bons pieds, bonne morphologie, pas de signe de blessure ou maladie grave. »

Bref : l’idéal. Barnaï se dirigea vers le côté du cheval en caressant son encolure au passage, puis attrapa une bonne poignée de crins au niveau du garrot. Un bond plus tard, elle était sur le dos du cheval, qui releva la tête, immédiatement attentif à sa cavalière.

« Qu’est-ce que tu dirais de bouger un peu ? »

L’avantage à connaître l’éleveur était qu’il ne s’offusquerait pas qu’elle monte ainsi sans prévenir sur un cheval pour l’essayer. À cru, sans bride ni même une corde, elle fit avancer le cheval, s’arrêter, tourner à droite, à gauche, se retourner sur les hanches, reculer… Le tout au pas et au trot. Une fois satisfaite de la maniabilité et la réactivité du petit cheval elle s’éloigna un peu plus du troupeau avant de le lancer au galop d’une impulsion de l’assiette. Il partit comme une flèche, comme s’il n’attendait que ça. Riant, le vent sifflant à ses oreilles, elle écarta les bras. Ce n’était pas Ganbold, mais elle commençait à croire qu’il ferait un digne successeur.

untitl10.jpg
Votre pseudo : Mey, toujours
Votre âge ? Thé ou café ? Un p'tit truc à dire ?
Je pense que ceci doit être mon record de vitesse en matière de craquage pour un second perso. Ah c’est malin, tiens !
Lun 28 Fév - 23:06
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Yihel
Yihel



C'est validé !

Bienvenue chez toi, Shuli !



Tu peux désormais arpenter librement les routes de l'Empire !
Prends garde aux Aberrations, et n'hésite pas à contacter Yihel en cas de besoin !


Lun 28 Fév - 23:32
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